La belle époque...
Coupez-moi la pipe !
Après Lucky Luke, Sartre et Malraux, c'est au tour de Tati de se faire couper la pipe ! Métrobus, régie publicitaire de la RATP, a exigé de faire disparaître la pipe maléfique du bec de Jacques sur les affiches de la cinémathèque sous prétexte que depuis 18 ans, il est interdit toute publicité pour l’alcool et le tabac - c'est vrai que cette pipe là, elle donne envi de s'en faire une sur le champ. Ou alors, faut penser que les Français sont vraiment tous des veaux...
En réponse à cette abbération, la Cinémathèque a décidé d'imprimer des affiches où est ajouté un
moulin à vent jaune en lieu et place de la cultissime pipe:
«Un ajout ridicule pour une censure ridicule».
Et sur les affiches de cinéclub et les jaquettes de DVD, ya des moulins à vent jaunes de prévu ? Je pense qu'il faudrait gommer numériquement toute trace de clope et de pipe dans les films et faire disparaître les témoignages écrits d'allumeurs ou d'écraseurs dans les livres...
"Nous travaillons en ce moment pour le bonheur des hommes..."
Et c'est pas fini !
Vu sur Facebook...
Chatterton à Caen
"Despair and die"
Shakespeare
" Il peut s'exercer indifféremment à
l'oeuvre d'art et à la critique, prenant dans l'une la
firme à la mode, dans l'autre la dissertation
sentencieuse.
Il sait le nombre des paroles que l'on peut réunir
pour faire les apparences de la passion, de la
mélancolie, de la gravité, de rérudition et de
l'enthousiasme.
Mais il n'a que de froides velléités de ces
choses, et les devine plus qu'il ne les sent il les
respire
de loin comme de vagues odeurs de fleurs inconnues. Il
sait la place dit mot et du sentiment, et les
chiffrerait
au besoin. Il se fiait le langage des genres, comme on
se fait le masque des visages. Il peut écrire la
comédie
et l'oraison funèbre, le roman et l'histoire, l'épitre
et
la tragédie, le couplet et le discours politique. Il
monte
de la grammaire à l'oeuvre, au lieu de descendre de
l'inspiration ait style; il sait façonner tout dans un
goût vulgaire et joli, et petit tout ciseler avec
agrément,
jusqu'à l'éloquence de la passion. C'est L'HOMME
DE LETTRES.
Cet homme est toujours aimé, toujours compris, toujours
en vue; comme il est léger et ne pèse à personne,
il est porté dans tous les bras ou il veut aller; c'est
l'aimable roi du moment, tel que le dix-huitième siècle
en a tant couronné. Cet homme n'a nul besoinde
pitié.
Au-dessus de lui est un homme d'une nature plus
forte et meilleure. Une conviction profonde et grave
est
la source oit il puise ses oeuvres et les répaud à
larges
flots sur un sol dur et souvent ingrat. Il a médité
dans la retraite sa philosophie entière; il la voit
tout
d'un coup d'ceil; il la tient dans sa main comme une
chaîne, et petit dire à quelle pensée il va suspendre
son
premier anneau, à laquelle aboutira le dernier, et
quelles oeuvres pourront s'attacher à tous les autres
dans l'avenir. Sa mémoire est riche, exacte et presque
infaillible; son jugement est sain, exempt de troubles
autres que ceux qu'il cherche, de passions autres que
ses colères contenues; il est studieux et calme. Son
génie,
c'est l'attention portée au degré le plus élevé, c'est
le
bon sens à sa plus magnifique expression. Son langage
est juste, net, franc, grand dans son allure et
vigoureux
dans ses coups. Il a surtout besoind'ordre et de
clarté, ayant toujours eu vue le peuple auquel il parle
et la voie oh il conduit ceux qui croient en lui.
L'ardenr
d'un combat perpétuel enflamme sa vie et ses
écrits. Son coeur a de grandes révoltes et des haines
larges et sublimes qui le rongent en secret, mais que
domine et dissimule son exacte raison. Après tout, il
marche le pas qu'il veut, sait jeter des semences à une
grande profondeur, et attendre qu'elles aient germé
dans une immobilité effrayante. Il est maitre de lui et
de beaucoup d'âmes qu'il entraine dit nord au sud,
selon son bon vouloir; il tient un peuple dans sa main,
et l'opinion qu'on a de lui le tient dans le respect de
lui-même et l'oblige à surveiller sa vie. C'est le
véritable,
LE GRAND ÉCRIVAIN.
Celui-là n'est pas malheureux il a ce qu'il a voulu
avoir; il sera toujours combattu, mais avec des armes
courtoises; et, quand il donnera des armistices à ses
ennemis, il recevra les hommages des deux camps.
Vainqueur ou vaincu, son front est couronné. Il n'a
nul besoin de votre pitié.
Mais il est une autre sorte de nature, nature plus
passionnée, plus pure et plus rare. Celui qui vient
d'elle est inhabile à tout ce qui n'est pas l'oeuvre
divine,
et vient au monde à de rares intervalles
malheureusement pour l'espèce humaine.
Il y vient pour étre à charge aux autres,
quand il appartient complètement à cette race exquise
et puissante qui fui celle des grands hommes inspirés.
L'émotion est née avec lui si profonde et si intime,
qu'elle l'a plongé, dés l'enfance, dans des extases
involontaires,
dam des rêveries interminables dans des inventions
infinies. L'imagination le possède par-dessus
tout. Puissamment construite, sort âme retient et juge
toute chose avec une large mémoire et un sens droit et
pénétrant; mais l'imagination emporte ses facultés vers
le ciel aussi irrésistiblement que le ballon enlève la
nacelle.
Aumoindre choc, elle part; au plus petit soujjle,
elle vole et ne cesse d'errer dans l'espace qui n'a pas
de
routes humaines. Fuite sublime vers des mondes
inconnus,
vous devenez l'habitude invincible de son âmel
Dès lors, plus de rapports avec les hommes qui ne
soient altérés et rompus sur quelquespoints. Sa
sensibilité
est devenue trop ce qui ne fait qu'effleurer
les autres la blessejusqu'au sang les affections et les
tendresses de sa vie sont écrasantes et
disproportionnées
ses enthousiasmes excessifs s'égarent ses sympathies
sont trop vraies; ceux qu'il plaint souffrent moins
que lui, et il se meurt des peines des autres. Les
dégoûts,
les froissements et les résistances de la société
humaine le jettent dans des abattements profonds, dans
de noires Indignations dans des désolations
insurmontables,
parce qu'il comprend tout trop complètement et
trop profondément, et parce que soit ail va droit aux
causes qu'il déplore on dédaigne, quand d'autres yeux
s'arrêtent à l'effet qu'ils combattent. De la sorte, il
se
tait, s'éloigne, se retourne sur lui-même et s'y
renferme
comme dans un cachot. Là, dans l'intérieur de sa tête
brûlée, se forme et s'accroît quelque chosede pareil ri
un
volcan. Le feu couve sourdement et lentement dans ce
cratère, et laisse échapper ses laves harmonieuses, qui
d'elles-mêmes sont jetées dans la divine forme des
vers.
Mais le jour de l'éruption, le sait-il? On dirait qu'il
assiste en étranger à ce qui se passe en lui-même, tant
celaest imprévu clcélesteUl marche consumé par
desardeurs
secrètes et des langueurs inexplicables. Il va
comme un malade et ne sait oit il va il s'égare trois
jours, sans savoir où il s'est traîné, commefit jadis
celui
qu'aime le mieux la France
faire, pour faire quelque chose en son art. Il faut
qu'il
ne fasse rien d'utile et de journalier pour avoir le
temps
d'écouter les accords qui se forment lentement dans son
âme, et que le bruit grossier d'un travail positif cl
régulier
interrompt et fait infailliblement évanouir.
C'est le poète. Celui-là est retranché dés qu'il se
montre: toutes vos larmes, toute votre pitié pour lui 1
Pardonnez-lui et sauve^-le. Cherchez,et trouve^ pour
lui une lie assurée car à lui seul il ne saura trouver
que la mort! C'est dans la première jeunesse qu'il
seul sa force naître, qu'il pressent de soit génie,
qu'il étrcînt d'un amour immense l'humanité et la
nature,
et c'est alors qu'on se défie de lui et qu'on le
repousse.
Il crie à la multitude. C'est à vous que je parle,
faites que je vive! » Et la multitude ne l'entend pas;
elle répond « je ne te comprends point! » Et elle a
raison.
Car soit langage choisi n'est compris que d'un petit
nombre d'hommes choisi lui-même. Il leur cric: <t
Écoutez-
moi, et faites que je vive! » Mais les uns sont enivrés
de leurs propres ouvris, les autres sont dédaigneux
et veulent dans l'enfant la perfection de l'homme, la
plupart sont distraits et indifférents tous sont
impuissants
à faire le bien. Ils répondent c Nous ne pouvons
rienl » El ils ont raison.
Il crie au pouvoir: « Écoutez-moi, et faites que je
ne meure pas. » Mais le pouvoir déclare qu'il ne
protège
que les intérêts positifs, et qu'il est étranger à
l'intelligence,
dont il a l'ombrage; cela hautement déclaré et
imprimé, il répond « Que ferais-je de vous? a Et il
a raison. Tout le monde a raison contre lui. Et lui,
a-t-il tort ? Que faut-il qu'il fasse? je ne sais; mais
voici ce qu'il peut faire.
Il peut, s'il a de la force, sefaire soldat et passer
sa
vie sous les armes; une vie agitée, grossière, oit
l'activité
physique tuera l'activité morale. Il peut, s'il en a la
patience, se condamner aux travaux du chiffre, oit le
calcul tuera l'illusion. U peut encore, si son coeur ne
se soulh'e pas trop violemment, courber et amoindrir sa
pensée, et cesser de chanter pour écrire. Il peut être
Homme de lettres, ou mieux encore; si la philosophie
vient à son aide et s'il peut se dompter, il deviendra
utile et grand écrivain mais, à la longue, le jugement
aura tué l'imagination, et avec elle, hélas le vrai
Poème qu'elle portait dans son sein.
Dans tons les cas, il tuera une partie de lui-même;
mais, pour ces demi-suicides,pour cesimmenses
résignations,
il faut encore une force rare. Si elle ne lui a pas
été donnée, cette force, on si les occasionsde
l'employer
ne se trouvent pas sur sa route, et lui manquent,
mime pour s1 immoler;si, plongédans cette lente
destruction
de lui-même,il ne s'ypeul tenir, quel parti prendre?
Celui que prit Chatterton se tuer tout entier; il
reste peu à faire.
Le voilà donc criminel! criminel devant Dieu et les
hommes. Car LE suicide EST UN CRIME reli-
GIEUX ET SOCIAL. Qui veut le nier? qui pense à.
dire autre chose} C'est ma conviction comme c'est,
je crois, celle de tout le monde. Voilà qui est bien
entendu.
Le devoir et la raison le disent. Il ne s'agit
que de savoir si le désespoir n'est pas quelque
chosed'un
peu plus fort que la raison et le devoir.
Certes, on trouverait des choses tien sages à dire à
Roméo sur la tombe de Juliette; mais le malheur est
que personne n'oserait ouvrir la bouchepour les
prononcer
devant une telle douleur. Songe à ceci! la
Raison est une puissance-froide et lente qui nous lie
peu
à peu par les idées qu'elle apporte l'une après
l'autre,
comme les liens subtils, déliés et innombrables de
Gulliver;
elle persuade, elle impose quand le cours ordinaire
des jours n'est que peu troublé; mais le Désespoir
véritable est une puissance dévorante, irrésistible,
hors
des raisonnements et qui commencepar la pensée d'un
seul coup. Le Désespoir n'est pas une idée; c'est une
chose, une chose qui torture, qui serre et qui broie le
coeur d'un homme comme une tenaille, jusqu'à ce qu'il
soit fou et se jette dans la mort comme dans les bras
d'une mère.
Est-ce lui qui est coupable, dites-le moi? ou bien
estce
la sociétéqui le traque ainsi jusqu'au bout?
Examinons ceci; on peut trouver que c'en est la
peine.
Il y a un jeu atroce, commun aux enfants du Midi;
tout le monde le sait. Ou forme un cercle de charbons
ardents; on saisit un scorpion avec despinces et on le
bose au centre. Il demeure d'abord immobile jusqu'à ce
que la chaleur le brûle; alors il s'effraye et s'agite.
On
rit. Il se décide vite, marche droit à la flamme, et
tente courageusement de se frayer une route à travers
les charbons; mais la douleur est excessive, il se
retire.
On rit. Il fait lentement le tour du cercle et cherche
partout un passage impossible. Alors il revient au
centre
et rentre dans sa première mais plus sombre immobilité.
Enfin, il prend soit parti, retourne contre luimême
son dard empoisonné et tombemort sur-le-champ.
On rit plus fort que jamais.
C'est lui sans doute qui est cruel et coupable, et ces
enfants sont bons et innocents.
Quand un homme meurt de cette manière, est-il
donc suicide"! C'est la société qui le jette dans
le brasier.
Je le répète, la religion et la raison, idées sublimes,
sont des idées cependant, et il y a telle cause de
désespoir
extrême qui tue les idées d'abord et l'homme ensuite
la faim, par exemple. J'espère être assez positif.
Ceci n'est pas de l'idéologie.
Il me sera donc permis peut-être de dire timidement
qu'il serait bon de ne pas laisser un hommearriver
jusqu'à ce degré de désespoir.
Je ne demande à la sociétéque ce qu'elle peut faire.
Je ne la prierai point d'empêcher les peines de coeur
et
les infortunes idéales, de faire que Werther et Saint-
Preux n'aiment ni Charlotte ni Julie d'Étauges; je ne
la prierai pas d'empêcher qu'un riche désoeuvré, roué
et
blasé, ne quitte la vie par dégoût de lui-même et des
autres. Il y a, je le sais, mille idées de désolation
auxquelles
on ne peut rien. Raison de plus, ce me
semble, pour penser à celles auxquelles on peut quelque
chose.
L'infirmité de l'inspiration est peut-être ridicule et
malséante; je le veux. Mais ou pourrait ne pas laisser
mourir celle sorte de malades. Ils sont toujours peu
nombreux, et je ne puis me refuser à croire qu'ils ont
quelque valeur, puisque l'humanité est unanime sur
leur grandeur, et les déclare immortels sur quelques
vers: quand ils sont morts, il est vrai.
Je sais bien que la rareté mime de ces hommes inspirés
et malheureux semblera prouver contre ce que j'ai
écrit. Sans doute, l'ébauche imparfaite que j'ai tentée
de ces natures divines ne peut retracer que quelques
traits des grandes figures du passé. On dira que les
symptômes dit génie se montrent sans enfantement ou
ne produisent que des oeuvres avortées; que tout homme
jeune et rêveur n'est pas poète pour cela; que des
essais
ne sont pas des preuves; que quelques vers ne donnent
pas des droits. Et qu'en savons-nous? Qui donc
nous donne à nous-m'eme le droit d'étouffer le gland en
disant qu'il ne sera pas chêne?l
Je dis, moi, que quelques vers suffiraient à les
reconnaître
de leur vivant, si l'on savait y regarder. Qui
ne dit à présent qu'il eut donné tout au moins une
pension alimentaire à André Chénier sur l'ode de la
Jeune Captive seulement, et l'eût déclaré poète sur les
trente vers de Myrto? Mais je suis assuré que, durant
sa vie (et il n'y a pas longtemps de cela), on ne
pensait
pas ainsi; car il disait:
Las du mépris des sots qui suit la pauvreté,
Je regarde la tombe, asile souhaité.
Jean La
Fontaine
sa pierre avec soit insouciance désespérée:
Jean s'en alla commeil était venu,
Mangeant son fonds avecson revenu.
Mais, sans ce fonds, qu'eût-il fait? à quoi, s'a vous
plait, était-il bon? Il vousle dit à dormir et lie rien
faire. Il fut infailliblement mort de faim.
Les beaux vers, il faut dire le mot, sont une
marchandise
qui ne plait pas ait commun des hommes. Or,
la multitude seulemultiplie le salaire; et, dans les
plus
bellesdes nations, la multitude lie cessequ'à la longue
d'être commune dans ses goûts et d'aimer ce qui est
commun. Elle lie peut arriver qu'après une lente
instruction
donnéepar les esprits d'élite; et, en attendant,
elle écrase sous tous ses pieds les talents naissants,
dont
elle n'entend même pas les cris de détresse.
Eh! n'entendez-vous pas le bruit des pistolets
solitaires?
Leur explosion est bien plus éloquente que ma faible
voix. N'entendei-vous pas ces jeunes désespérés qui
demandent le pain quotidien, et dont personne lie paye
le travail? Eb quoi! les nations manquent-elles à ce
point de superflu? Ne prendrons-nous pas, sur les
palais
et les milliards que nous donnons, une mansarde et un
pain pour ceux qui tentent sans cesse d'idéaliser leur
nation malgré elle ? Cesserons-nousde leur dire:
Désespère
et meurs; despair and die? » C'est au législateur
à guérir cette plaie, l'une des plus vives et des
plus profondes de notre corps social; c'est à lui qu'il
appartient
de réaliser dans le présent une partie des jugements
meilleurs de l'avenir, en assurant quelques années
d'existence seulement à tout homme qui aurait donné un
seul gage du talent divin. Il ne lui faut que deux
choses:
la vie et la rêverie, le PAINet le temps.
Voilà le sentiment et le vxu qui m'a fait écrire ce
drame je ne descendrai pas de cette question à celle de
la forme d'art que j'ai créée. La vanité la plus vaine
est peut-être celle des théories littéraires. Je ne
cesse de
m' étonner qu'il y ait eu des hommes qui aient pu croire
de bonnefoi, durant un jour entier, à la durée des
règles qu'ils écrivaient. Une idée vient ait monde tout
année, comme Minerve; elle revêt en naissant la seule
armure qui lui convienne et qui doive dans l'avenir
être
sa forme durable l'une, aujourd'hui, aura un vêtement
composé de mille pièces; l'antre, demain, un
vêtement simple. Si elle parait belle à tous, on se
hâte
de calquer sa forme et de prendre sa mesure; les
rhéteurs
notent ses dimensions pour qu'à l'avenir on en
taille de semblables. Soin puéril II n'y a ni maître
ni écoleen poésie; le seul maître, c'est celui qui
daigue
faire descendre dans l'homme l'émotion féconde, et
faire
sortir les idéesde nos fronts, qui en sont brisés
quelquefois.
Puisse cetteforme ne pas être renversée par l'assemblée
quila jugera dans six mois! Avec elle périrait un
plaidoyer en faveur de quelques infortunés inconnus;
mais je croîs trop pour craindre beaucoup. Je crois
surtout à l'avenir et ait besoin universel de choses
sérieuses; maintenant que des yeux par des
surprises enfantines fait sourire tout le mouds au
milieu
même de sesgrandes aventures, c'est, ce me semble, le
temps du dkame de LA pensée.
Une idée qui est l'examen d'une blessure de l'âme
dei'ait avoir dans sa forme l'unité la plus complète,
la
simplicité la plus sévère. S'il existait une intrigue
moins
compliquée que celle-ri, je la choisirais. L'action
matérielle
est assez peu de chose pourtant. Je ne crois pas que
personne la réduise à une plus simple expression que,
moi-même, je ne le vais faire: C'est l'histoire d'un
homme qui a écrit une lettre le malin, et qui attend la
réponse jusqu'au soir; elle arrive, et le tue. Mais ici
l'action morale est tout. JJaction est dans cette âme
livrée à de noires tempêtes; elle est dans les coeurs
de
celle jeune femme et de ce vieillard qui assistent à la
tourmente, cherchant en vain à retarder le naufrage,
et luttent contre un ciel et une mer si terribles que
le
bien est impuissant, et entrains lui-même dans le
désastre
inh'itable.
J'ai voulu montrer l'homme spiritualislc étouffé par
une société matérialiste, ait le calculateur avare
exploite
sans pitié l'intelligence et le travail. Je n'ai point
prétendu
justifier les actes désespérés des malheureux, mais
protester contre l'indifférence qui les y contraint.
Peut-on
frapper trop fort sur l'indifférence si difficile à
éveiller,
sur la distraction si difficile à fixer? Y a-t-il un
autre moyen de toucher la société que de lui montrer la
torture de ses victimes?
Le Poète était tout pour moi; Chatterton n'était
qu'un nom d'homme, et je viens d'écarter à dessein des
faits exacts de sa vie pour ne prendre de sa destinée
que
ce qui la rend un exemple à jamais déplorable d'une
noble misère.
Toi que tes compatriotes appellent aujourd'hui
merveilleux
enfant et tu aies été juste ou non, tu as été
malheureux; j'en suis certain, et cela me suffit.
Âme désolée,pauvre âme de dix-huit ans! pardonne moi
de prendre pour symbole le nom que tu portais sur
la terre, et de tenter le bien en ton nom."
Écrit du 29 au 30 Juin 1834
Histoire
Une histoire de fantôme
Un allemand, un français et un anglais sont en randonnée quand ils
arrivent a un hôtel en pleine campagne, mais il ne reste qu'une chambre.
"on va dormir chacun notre tour et on repart"
L'allemand commence. Il va se coucher, et pendant la nuit entend :
Ouuuuuuuuh ! Je suis le fantôme à la quéquette tordue !
Pris de panique il sort de la chambre, se mange l'escalier et meurt
le lendemain, l'anglais tente ca chance, et le soir pendant qu'il dort, il entend :
Ouuuuuuuuh ! Je suis le fantôme à la quéquette tordue !
De même que le germain, il est horrifié, et saute par la fenêtre, action ultime et fatale
Le dernier jour, le français s'endort et le vacarme recommence :
Ouuuuuuuuh ! Je suis le fantôme à la quéquette tordue !
"Ta gueule ou je te la redresse !"
Encore mieux qu'en slip...
Messages privés... Pourquoi privés ? Tout est public sur FB !
Suite et fin:
"c'est de la branlette!"
27 janvier à 13:45
Alors
quand t'as une idée dans la tête c'est pas ailleurs toi! Qu'est-ce tu
veux que je te dise ? Que je suis qu'un gros mouton qui écoute de la
musique de beuh pour se défouler et oublier sa vie de merde ? Bah ouais
ca m'arrive et j'assume, moi je pète pas plus haut que mon cul comme
toi! C'est pas croyable ca! Tu connais rien de rien au metal ou au
rock, c'est pas avec tes Babyshambles que tu peux te permettre de
critiquer les vingtaines de groupes que j'écoute... Mais ca c'est
typique des "intellos" dans ton genre, c'est de croire qu'ils peuvent
deceler tout et n'importe quoi, tu me rapelles mes profs de ciné qui
voyaient je sais pas combien de raisons farfelues d'expliquer le
plan-séquence au début de La soif du mal (O. Welles) et dans un
bouquin, Godard disait que la seule raison à ce plan-séquence c'est que
quand tu réussissiais un plan-séquence, tu gagnais et du temps et de
l'argent... alors excuse-moi mais tes analyses
pseudo-intellectuelles... c'est de la branlette!
27 janvier à 14:56
"Alors
quand t'as une idée dans la tête c'est pas ailleurs toi! Qu'est-ce tu
veux que je te dise ? Que je suis qu'un gros mouton qui écoute de la
musique de beuh pour se défouler et oublier sa vie de merde ? "
> Je le répète pour la énième fois (et la dernière) je n'ai rien contre ton "métal". Cela dit, tu sembles tellement ne pas avoir de personnalité que tu t'y es complètement identifié: en l'occurrence, si j'"insulte"(pour reprendre ton raisonnement) un peu le "métal", j'insulte ta personne.
"Bah ouais ca m'arrive et j'assume, moi je pète pas plus haut que mon cul comme toi! "
>Avant que je te supprimes définitivement de mes amis (et pas simplement facebook) j'espère que tu auras l'honnêteté de m'expliquer en quoi "je pète plus haut que mon cul".
"C'est pas croyable ca! Tu connais rien de rien au metal ou au rock, c'est pas avec tes Babyshambles que tu peux te permettre de critiquer les vingtaines de groupes que j'écoute..."
> Je juge douteuses des paroles "Monowar" et j'emploie mon esprit critique. Ce que le fan que tu te revendiques ne fait pas.
"Mais ca c'est typique des "intellos" dans ton genre, c'est de croire qu'ils peuvent deceler tout et n'importe quoi, tu me rapelles mes profs de ciné qui voyaient je sais pas combien de raisons farfelues d'expliquer le plan-séquence au début de La soif du mal (O. Welles) et dans un bouquin, Godard disait que la seule raison à ce plan-séquence c'est que quand tu réussissiais un plan-séquence, tu gagnais et du temps et de l'argent... alors excuse-moi mais tes analyses pseudo-intellectuelles... c'est de la branlette!"
> Oui, oui, l'esprit critique, c'est un truc d'intellos.
Je pense que je n'ai plus d'intérêt à rester en relation amicale avec un type aussi bête, qui s'interdit d'avoir de la réflexion sur les choses qu'il aime sous prétexte que c'est un truc "d'intello" et qui ne comprend rien à rien.
27 janvier à 22:06
Mais pourquoi est-ce que ça part en couille comme ça là ?
Moi je reconnais que vous avez peut-être raison en ce qui concerne ce groupe, mais vous ne reconnaissez pas que vous avez peut-être tort, c'est là la différence!
Moi je reconnais que je manque peut-être d'esprit critique comme tu dis, mais reconnais que vous la ramenez pas mal quand même ?
C'est qui le fasciste dans l'histoire ?
Je trouverait ça ridicule que tu me vires de tes amis pour une dispute à la con comme ça, je suis peut-être plus ouvert et moins extrême que toi finalement... non ? Enfin bref faut se calmer quoi, perso c'est pas cette conversation qui changera tout le bien que je peux penser de toi m'enfin si toi t'en arrives là...
""Mais
ca c'est typique des "intellos" dans ton genre, c'est de croire qu'ils
peuvent deceler tout et n'importe quoi, tu me rapelles mes profs de
ciné qui voyaient je sais pas combien de raisons farfelues d'expliquer
le plan-séquence au début de La soif du mal (O. Welles) et dans un
bouquin, Godard disait que la seule raison à ce plan-séquence c'est que
quand tu réussissiais un plan-séquence, tu gagnais et du temps et de
l'argent... alors excuse-moi mais tes analyses
pseudo-intellectuelles... c'est de la branlette!""
TOUT EST DIT
CI-DESSUS: Voilà un discours suffisant et représentatif d'un schéma de
pensé (effrayant) et d'une mentalité de beauf lobotomisé pour n'avoir
aucun intérêt à rester amie avec qqun qui est capable de me dire ça.
Confond
pas une ouverture d'esprit (qui tolère tout, même l'Infâme) et l'esprit
critique dont tu ne fais apparemment jamais preuve sous peine de passer
pour un "intello", fan de "branlette"...sans doute par peur de perdre
tes autres "amis" et de passer pour un "chercheur de poux" ou autre
emmerdeur à museler.
Tu fais une dernière preuve de ta bêtise en
me traitant de fasciste (alors que justement je dénonce un salut nazi
associé, comme sous Hitler, aux mythes nordiques).
Ne débat plus : Jouis bien et consomme ! (et/ou fait toi consommer)
Hail ??
B H à 17:27, le 7 décembre
euh...tout va bien ?! lol
Yomgui à 18:30, le 7 décembre
yeeeah Manowar Kills !!! je veux aller au Hellfest lol
Alauna à 18:55, le 23 janvier
C'est pas un peu olé olé le "hail" à la fin ?
Yomgui à 22:12, le 23 janvier
C'est pas un peu olé olé de déterrer des status vieux de plus d'un mois ? "hail" an anglais = gloire à.. (aux dieux de la guerre en l'occurence, ManowaR étant des fous d'Odin) et oui c'est l'équivalant du "Heil" en allemand si c'est ça qui te turlupinait.
B H à 22:26, le 23 janvier
"HAIL HAIL, HAIL AND KILL !!" :-D à sa décharge elle ne peut pas comprendre si elle n'a pas entendu ce genre de chant qui remue les tripes, mouahahaaaa
Manfred à 11:58, le 24 janvier
Bien sûr! il suffit d'écouter notre fuhrer pour rejoindre sa
cause pure !
Vous avez déjà écouté des "musiques" de néo- nazi? (qu'on peut
entendre dans n'importe quel reportage sur ces sinistres milieux...) C'est
exactement le même type de rythmique que du mauvais métal.
Pas s'étonner que des musiques à sonorités martiales forniquent avec la fange
idéologique... l'armée a toujours habillé les dictatures, quelque qu'elles
soient.
Quant à la liaison entre la mythologie nordique et le nazisme, il faut être un
naïf ou un complaisant pour prétendre ignorer qu'elle existe...
Moralité: fachos, écoutez donc plutôt du Wagner ! ça prend VRAIMENT aux
tripes...
Yomgui à 12:15, le 24 janvier
Donc si je suis ta logique quelqu'un qui apprend le suédois ou le norvégien, c'est un complaisant du régime nazi ? Tu veux bien arrêter tes conneries ? Et c'est normal si tu te contredis en nous conseillant Wagner (le fan des Walkyries... nordiques, elles aussi...) ? J'apprécie pas trop me faire traiter de facho même au 8ème degré.
B H à 16:42, le 24 janvier
Gab, tu peux ne pas aimer le métal (bon ou mauvais), mais de
là à prendre au 1er degré le thème de ces groupes, et insulter deux personnes
de fachos, c'est plus que border-line.
Tu pourrais simplement respecter les gouts des autres, point barre.
Et si tu veux continuer dans ton délire d'association musique/idéologie, je te
laisse écouter du Sardou et du Sevran,de la bonne variété française, très
consensuelle...
Ah oué, j'en terminerais que la "moralité" entre 2 personnes qui ne
se connaissent pas...ça passe moyen.
Alauna à 17:51, le 24 janvier
Mon chatooooon ? T'as une réponse à faire !!
En tout cas, c'est clair que la filiation ou le soit-disant "second degré
provocateur" de nombreux groupes de "métal", genre celui dont
est issu le salut hitlérien à peine déguisé de la citation de Yomgui, ça fait
peur...
Ben quoi ? Le djeun qui aime avoir une gueule de métallique et jouer au mâle
bourrin, il aime quand ça fait plein de boucan ! Le bruit, c'est important, les
paroles, tout à fait secondaire...
(Toi le B, au lieu de me "décharger" je-ne-sais-quoi, retourne jouer
aux warhammer, hein.)
Manfred à 21:15, le 24 janvier
Quelle levée de boucliers ! c'est à se demander si mes
piques n'ont pas touché juste...
Yomgui: je rappelais l'Histoire: le nazisme a exploité la matière Nordique
comme esthétique de son idéologie.
Ce n'est pas parce qu'on exploite l'esthétique des mythes nordiques qu'on est
nazi. (Werther admirant les chants d'Ossian et épanchant sa sensibilité à
travers eux par exemple)
MAIS ici en l'occurrence il y du nordique (Manowar, fou d'odin) et le salut
nazi (heil !)... et cela ne te semble pas insolite ?
Manfred à 21:17, le 24 janvier
B : quoi de plus normal de vibrer sur ce genre de musique ?
Regardez les documentaires sur le peuple devant des conférences d’Hitler, il
est on ne peut plus heureux !
A condition d’aimer ce qu’ils aiment…
Moi je n’aime pas !
Paradoxe : Wagner est un gros connard d’antisémite (raison de la rupture avec
Nietzche) mais la musique qu’il compose est grandiose et me fait vibrer… Il
arrive alors que la Beauté dépasse l’idéologie sous jacente et qu’on ne considère plus que l’esthétique en
dépit qu’une éthique répugnante.Mais quand une musique se sert d’une "éthique" (heil) pour son profit
esthétique (« ça fait vibrer »), il y a lieu de se demander si ce n’est pas
cette éthique qui vous fait vibrer au fond !"Le bon pédagogue" apprend aux enfants ignorants à posséder un bon
jugement…Vous êtes des adultes, aussi jugez par vous-même…
B H à 22:57, le 24 janvier
OMG, on a affaire à un chaton agrégé de philo, baleze qui
plus est !!
Et si j’aime un truc qui s’appelle « Sign of the Cross », tu me diagnostiques
un intégrisme catholique ?!
A facho, facho et demi.
Alauna à 23:14, le 24 janvier
Ah ! Je comprends... Le petit est choqué de voir des gens
raisonner et juger... L'a pas l'habitude... (et mélange pas tout poussin, ici,
on cause des néo nazis).
Yomgui ? On t'attends !!
Yomgui à 12:41, le 25 janvier
"Ce n'est pas parce qu'on exploite l'esthétique des
mythes nordiques qu'on est nazi." Bah le Yomgui il a plus trop besoin de
clore le débat, cette phrase l'a fait.
Accordez à ces faux vikings américains de Manowar le bénéfice du doute.
Yomgui à 12:43, le 25 janvier
Le truc avec ce groupe c'est qu'ils sont tournés vers eux-même et rien d'autre, ils se croient les dieux du metal et que tous les autres groupes ne sont que des groupes à fric de merde, et ils le gueulent haut et fort, après faut juste connaître quoi. En ce qui concerne leurs chansons, ca se divise en deux catégories si on veut, y a d'un coté les chansons de types guerrières pronant l'union des peuples sous la même bannière, celle du "true metal" comme ils l'appellent ("warriors of the world united") et la fraternité ("brothers of metal") pour faire une seule chose : rendre grace au metal, au sexe, a l'alcool et puis c'est tout. L'autre genre ce sont les chansons de types eroic/fantasy (warhammer si tu veux, Alauna, même si j'ai jamais joué à ça et que benji non plus à mon avis), type qui n'est pas l'exclu de manowar étant donné qu'un nombre considérable de groupes en ont fait leur cheval de troie. Les deux genres se mélant un peu pdt qu'on y est.
Yomgui à 12:47, le 25 janvier
Après ils peuvent voter Bush ou McCain, bah qu'est-ce tu veux que je te dise... moi je vais pas dans des concerts de metal en pensant à McCain, Le Pen ou Hitler... je sais pas si tu sais, mais c'est plutot des punks anarchistes et anti-fascistes qu'on trouve dans ces concerts.. le metal c'est pas l'exclu de l'extreme-gauche m'enfin tu vas pas trouver beaucoup de nazillons au Hellfest à mon avis...
Manfred à 13:12, le 25 janvier
il faut prendre en compte l'intégralité de mes propos avant
de prétendre que le débat est clos...
"MAIS ici en l'occurrence il y du nordique (Manowar, fou d'odin) et le
salut nazi (heil !)"
Donc tu es capable d'aimer l'esthétique nazie...
Libre à toi d'aimer...
Mais ne t'étonnes pas qu'on se demande si tu serais pas un peu facho quand on
considère ce que tu aimes...
Yomgui à 13:16, le 25 janvier
Pff mais alors dans ce cas, faut bannir tous les mots qu'on était employés par les nazis ? Faut plus écouter Carmina Burana parce que c'était l'opéra préféré de Hitler ? Faut plus avoir d'amis allemands ?
Yomgui à 13:18, le 25 janvier
Et si on achète des ray-ban, ca veut dire qu'on aime Sarkozy ?
Manfred à 13:38, le 25 janvier
Je m'appuie sur des exemples précis et je démontre ce qu'est
l'esthétique nazie...
Après je démontre que votre groupe exploite l'esthétique nazie...
maintenant JUGEZ PAR VOUS MÊME ! Vous êtes les seuls maitres de votre jugement
!
ça ne vous gène pas d'aimer l'esthétique nazie ? Dans ce cas vous ne devriez
pas être non plus être gêné qu'on puisse penser que vous puissiez l'être ! Ou
alors ya une contradiction si ça vous gène !
Parce que, comme dirait B, la "border-line" entre l'amour de
l'esthétique nazie et l'amour du nazi, elle est très mince !
Je n'ai strictement plus rien à dire, et n'ai pas envie de me répéter... Mais
rappelez vous qu'on juge un individu sur ça faculté de juger ! A bon entendeur
mes enfants...
Alauna à 13:52, le 25 janvier
Esthétique nazie :
_ Non, elle n'a rien à voir avec le fait d'avoir des amis allemands (t'es
ridicule).
_Carmina B. n'est pas un opéra nazi.
En revanche, le salut "hail", oui. A part les facho et néo nazi (et
maintenant certains métalliques), je connais personne qui fait "hail"
avec son bras dans la rue, moi...
Tiens, ben tente l'expérience dans les rues de Caen si tu veux une preuve !
Yomgui à 14:02, le 25 janvier
Je pense pas que y ait a proprement parler d'esthétique
nazie, y a que des trucs que les nazis ont REPRIS et mis à leur sauce en
appelant ça leur esthétique.
Exemple tout con que vous connaissez tous : la croix de Svaztika qui à la base
était "utilisée en Orient dans la symbolique jaïne, hindoue et bouddhique
ainsi qu'en Chine pour symboliser l'éternité"
Alors ok, "hail" est assez moyen-ageux mais c'était qu'un mot comme
un autre avant que les nazis ne l'utilisent à tire-larigot...
Mais si on devait s'en tenir au politiquement correct et enterrer tout les
mots, symboles ou je ne sais quoi d'autre qui ont eu un lien avec un dictateur,
une doctrine, un génocide, un crime contre l'humanité.. bah putain on est pas
rendu !
Alauna, est-ce que j'ai dit que Carmina B. était un opéra nazi ? NON j'ai dit
que c'était le préféré d'Hitler! NUANCE!
Yomgui à 14:06, le 25 janvier
Et si Alauna, si on suit votre raisonnement extrêmiste à la
lettre : les nazis disaient "heil", manowar dit "hail" donc
manowar sont dess nazis.
Du coup bah continuons comme ca, les nazis étaient allemands, les allemands
sont des nazis ?? Mais on va où avec vos syllogismes à la con là ?? Alors si je
parle de pouvoir d'achat comme Sarko, ca y est je suis sarkozyste ?? Arrêtez
votre délire là!
Alauna à 14:21, le 25 janvier
Moi non plus je n'ai plus rien à dire, sinon que je
conseille à tous les admirateurs de Puissance de porter une croix gammée au
cou: chez les étrusques par exemple, c'est JUSTE un symbole de force
supérieure, hein... Ne nous privons donc pas !
C'est vrai quoi, les gens, ils devraient comprendre avant de te casser la
gueule que "hail" c'était juste "qu'un mot comme un autre"
avant que les nazis ne l'utilisent pour saluer leur führer (nan, ça te fait
toujours pas réfléchir?)... Allez Yomgui ! Hail ! Hail ! Hail ! Dans les rues
de Caen !
PS: en plus d'être inadaptées, tes analogies sont parfaitement idiotes.
Yomgui à 14:51, le 25 janvier
"Puissance" ?
Bah chacun son truc, moi c'est les analogies idiotes et toi les syllogismes
démesurés. Si t'intègres pas le fait que c'est qu'un groupe de metal parmi tant
d'autres qui a bâti son image sur cette "super puissance" qu'ils
disent posséder par rapports aux autres groupes, bah je peux rien ajouter...
mais ça n'a rien de politique, c'est vous qui voyez des nazis dans votre soupe.
Appelle-moi aveugle ou mouton, moi je suis contre les extrêmes quels qu'ils
soient et tu le sais très bien. Si boire de la bière et faire la fête entre
jeunes metalleux te débecte, et qu'on peut plus rien faire sans briser tel ou
tel tabou, sans braver telle ou telle éthique, bah on a plus qu'à se foutre une
balle et on en parle plus quoi.
Alauna à 15:00, le 25 janvier
Ok, et bien on va mettre en situation vu que tu ne piges
rien:
On te retrouve à la fac mardi aprèm quand les gens sortent de cours et tu
brames des "hail" au niveau du phœnix que tout ce monde t'entende.
Si t'as si raison que ça, ça devrait pas te gêner ! Et comme ça, on sera fixé.
On se recontacte, moi j'ai à faire. Bye !
B H à 15:16, le 25 janvier
Belle démonstration, si si, vraiment.
Mais votre discours intrusif est complètement déplacé. Si vous aviez ressenti
ou touché du doigt ce qu'est l'esprit de corps, l'unité d'un groupe, ça vous
aurait évité une belle digression...Alors oui, cette sensation fait appel à de
bas instincts, certains en ont peur, certains ne la maitrise pas, et d'autres
savent l'apprécier.
La culture historique et littéraire est une chose, connaitre les gens en est
une autre.
Point de divergence profonde, la capacité de jugement d'un individu ne flatte
que son ego. Les gens retiendront vos actes bien plus que vos jugements.
Vous avez appris a raisonner, dans un contexte particulier rappelez vous-en.
Les scientifiques savent que tout raisonnement a ses limites, vous avez
franchis les vôtres sans aucune précaution.
Bravo
Alauna à 15:40, le 25 janvier
"Connaître les gens" :
Et si ces gens là faisaient preuve d'un peu de jugement (c'est nouveau ce
rapport entre l'ego??) et se rendaient compte par eux-mêmes qu'ils baignent bel
et bien (grâce à leur groupe de métal qui fait du bruit) dans un trip
transpirant le nazi...?
Allez bon vent graine de nazillon qui ne le sait même pas ! (à moins que tu
veuilles toi aussi faire "hail" avec ton ami devant le phoenix?)
Gueuzaille
Danse avec les gueux
"Les liaisons poisseuses"
Manfred: un
prince de sang
Alauna: la
fiancée de Manfred
Justine:
une miséreuse orpheline
Sébastien:
le frère cadet de Justine
Marie-Gertrude:
mère de Louis-Joseph devenue la confidente de Justine
Louis-Joseph: fils de Marie-Gertrude, lui-même ancien amant de Justine
Manfred, l’ancien amant de Justine, tente à nouveau de lui expliquer les raisons de sa rupture avec elle et lui prodigue de généreux conseils. Cette dernière, incapable de l’écouter et ne pouvant souffrir l’idée d’avoir été délaissé, persiste à lui cracher son fiel. Fâché, Manfred décide de ne plus la ménager et lui adresse un message d’adieu…
Lettre de Manfred à Justine
J'ai relu la dernière conversation msn, c'est pénible de
faire des efforts pour quelqu'un qui ne peut s'empêcher de se plonger dans un héroïsme
victime tout à fait écœurant, et qui appelle "pitié" tout aide qu'on
peut lui prodiguer. En ce cas reste seule avec ta fierté et choisi bien tes
confident(e)s. Cesse de donner des permissions, tu n'as de pouvoir sur
personne, pas même sur toi même. Je n'ai pas souvenir que ta mère aimait bien
celle de Louis-Joseph. Tu as de la chances, les morts ne se vengent pas, même
si on les déshonore.
Je ne souhaite bien du bonheur à te complaire dans tes irréversibilités fatales
avec ta nouvelle mère.
Réponse de Justine à Manfred
1) je ne refuse pas de l'aide par fierté.... je ne veux pas
de la TIENNE uniquement! 2)tu ne connais absolument pas les rpts de ma mere
avec mc! Tu statues sans RIEN SAVOIR, tu veux sauver qqn?! occupe toi de tes
fesses ou de celle de ta beaufette!
3) je trouve ca tres lache et delicat de te premettre ce genre de discours
depuis ton pc... comme d'ahab, en grand lache, tu aboies de loin..on ne change
pas une equipe qui gagne!
Quant au reste, tu peux etre rassuré, tes derniers propos m'auront fait autant
pitié que blessée, je n'ai pas honte de le reconnaitre, et je trouve ta
provocation meme pas digne de toi... je ne trouve pas de mots pr exprimer la
haine que tu viens de susciter... je ne vois pas a quoi ca t'avance... sur
ce...!!
Lettre d'Alauna à Justine
Salut ! C'est la saloperie de Beaufette. J'espère que mon
déplacement vers la salle 516 dans le but de stopper ton idiotie à
m’avoir insulté au moins à deux reprises par voie informatique en
croyant froisser mon fiancé te donnera à méditer quant à ta propre «
lâcheté ».
Aussi, avant de t’ignorer, sache que je suis fort
aise de n’avoir jamais rien à connaître d’une créature aussi vile et
obtuse que toi. Je n’ai plus qu’à plaindre tes proches de fréquenter
une fille aussi haineuse, qui, en peine d’arguments valables, crache,
telle une chienne enragée, sa fureur en mordant le souvenir de la «
putain d’amie » défunte de mon amant.
Crains la colère de ton Dieu !
Lettre de Louis-Joseph à Manfred
J’en conclu donc que si ma mère est la « nouvelle mère »
de Ju’, ça fait donc de moi légitimement le demi-frère, et chez moi on touche
pas a la famille. Qu ‘on se le tienne pour dit Manfrelle, pour l’instant
je reste poli, a toi de voir si le jeu en vaut la chandelle pck si je m’ennerve
ça sera pas vraiment a base de panphlets… Sur ce réfléchis bien avec ce qui te
sert de tête!
Réponse de Manfred à Louis-Joseph
Mon cher petit,
Tu es adorable de vouloir jouer au chevalier servant envers Dame Justine, mais
il faut que tu apprennes que le temps des ordalies n'est plus, et que nous
vivons dans un État de Droits. Tes propos supposent une menace. C'est héroïque,
mais ce genre de chose est puni par la loi. Et avec ce que tu as écrit, il me
suffit d'une capture d'écran pour déposer une "main courante" contre
toi.
A bon entendeur.
(Sébastien, le frère cadet de Justine tente de contacter Manfred)
Réponse de Manfred à Sébastien
Que me vaut cet honneur ?
Lettre de Sébastien à Manfred
J'aimerais assez pouvoir comprendre quelles sont les
circonstances qui ammènent à un tel dialogue. Le fait que tu te permettes
d'avoir des paroles sur ma mère me mets hors de moi, car d'un je ne vois pas
par quelle(s) raison(s) tu aurais à ramener ma mère dans la conversation, et de
deux, le fait que ma mère soit citée dans cette affaire me force à me joindre à
la partie.
Ainsi donc, j'aimerais que tu me donne une explication qui pourrait prétendre à
justifier le fait que tu te permette de parler au nom de ma mère et surtout
tout simplement, de parler d'elle, que tu n'as jamais connu, et qui de
surcroit, ne t'appréciait guère.
Réponse de Manfred à Sébastien
[…] Ce message n'insulte donc en aucun cas la mémoire de ta
mère, mais l'inconscience, la méchanceté à mon égard et la bêtise de ta sœur
ainsi que sa fâcheuse habitude de se servir de mes morts comme des siens pour régler
ses comptes.
Réponse de Sébastien à Manfred
qu'est ce qui te permet de juger ce que "justine fait
du souvenir de ma mere", est ce que tu es dans sa tête ? tu prétend que
Justine déshonneur ma mere en étant proche de marie gertrude? ca n'a pas de
sens, et de toute façon cela ne regarde que ma soeur et marie gertrude, nan ?
tu penses pas ?
ensuite, je trouve petit, tres petit le fait d'attendre justine a la fac pour
l'insulter et lui coller la honte en public. tu me dis que cette affaire ne
regarde que toi et elle, mais c'est tout de meme ta copine actuelle qui est
venue vers justine, nan ? tout en l'insultant et lui énumérant les mots qu'elle
a eu a son sujet... alors que ta copine se sente concernée par ces mots, ok,
mais dans ce cas j'ai donc le droit de me montrer concerné quand j'apprends que
tu parles au nom de ma mere et que tu insinue que justine salie son souvenir
je suis d'ordianire de nature gentille, mais il y a certaines choses qui ne
passent pas... a ca y est, tu as mis le doigt sur un de MES points
sensibles...bravo...ainsi donc te voila prévenu et je t'informe que si par
hasard ces mêmes genres de faits arrivent encore jusque mes oreilles, j'aurai
l'extreme honneur de te remetre à la place et que bien evidement je n'ai pas le
meme caractere que ma soeur... donc si l'envie te reviens a toi et a ta copine,
de manquer de respect (car je considere ca comme un manque de respect) a ma
soeur ou a ma mere, je me ferais une joie de m'occuper de clore cette
histoire...je me suis bien fait comprendre Manfrelle ?
Réponse de Manfred à Sébastien
Je ne vais pas perdre mon temps, cette histoire ne regarde
que ta sœur et moi. Les explications que je t’ai données n’ont visiblement
servies à rien… Si ta sœur n’avait pas touché mes points sensibles par le passé
(et aujourd’hui encore, elle a insulté la mémoire de ma « putain d’amie ») nous
n’en serions pas là. Je le répète n’ai pas insulté ta mère, mais me suis adressé
à Justine. Je n’ai donc aucun compte à te rendre.
En revanche !
Ton message est un message de menace, il constitue une preuve suffisante pour déposer
une "main courante" contre toi. Je n’ai pas envie d’en arriver là,
mais si tu cherches à m’intimider, je le ferrai.
D’autres que moi se chargeront alors de te donner des explications…
Est-ce bien compris Sébastinne ?
Réponse de Sébastien à Manfred
je t'ai menacé ? qu'est ce qui fait référence à des menaces
dans mon message ? di smoi, j'attends la ! c'est le fait que j'ai bien envie de
te remetre a ta place ? mais mon cher, tu es bien le premier a te considérer
comme une personne intelligente n'est ce pas ? ainsi donc tu serais si bete au
point d'imaginer que je veuille perdre mon temps à des représailles ? bien...je
pensais que tu avais autre chose à répondre que "arrête sinon je vais le
dire !!!!"... je vais te dire une chose, tu peux tres bien deposer plainte
contre moi...j'en ai rien a faire a dire vrai, car ce message n'engage a aucune
menace, a part selon toi...et ensuite, la scene que vous avez joué a la fac
représente bien plus une menace tu crois pas ? et laisse moi te dire que des
comptes, j'en ai autant a t'en demandé que ta copine a ma soeur, ok ?
mais t'as quel age putain! c'est quoi la vrai raison de tout ca ! t'es vert du
fait que justine entretienne encore des rapports amicaux avec Louis-Joseph et
sa mere et avec toi non ? c'est ca ? je vais peut etre t'apprendre qu'on
appelle ca de la jalousie!!! JALOUSIE oui!!! tu te sens rejeté ?
je ne sais pas si ma soeur a injurié ton amie, mais c'est de
quel niveau de répondre par la meme chose! c'est un grand signe d'intelligence
ca encore !
Réponse de Manfred à Sébastien
Toute menace est punie, l’écrit informatique constitue une
preuve.
Ya pas besoin d’être expert en rhétorique pour voir le caractère intimidant de
ton message et de le faire constater. Tu ferrais mieux modérer tes propos.
Quant à Justine, je ne l’ai menacé d’aucune sorte. Il s’agit d’une dispute
verbale entre elle et moi à laquelle tu n’as pas participé ni à participer.
Et encore une fois, cela ne te regarde pas.
Bonne nuit !
Lettre d’Alauna à Sébastien
Gentil frère de Justine,
Est-ce une chance d’avoir une sœur lâche qui, à courts d’arguments pour tenter
de « froisser » Manfred, se met à m’insulter derrière son écran ?
PS : Soit tranquille, si parfois ta sœur à subit un quelconque « déshonneur »
sur le fait que je prenne la peine de lui faire part de mon mécontentement
autrement que derrière mon écran, elle ne le doit qu’à la sonorité de sa voix
dans les couloirs d’une fac vidée de sa population étudiante à 6h du soir.
Réponse de Sébastien à Alauna
sérieux c'est quoi votre motivation à faire chier votre
monde, et surtout ma soeur ? un peu de cohérence serait la bienvenue... arrêtez
de vous poster en victimes! quand on interpelle quelqu'un a la fin de son cours
pour lui dire d'arrêter de nous parler, on ne va pas la trouver à tout bout de
champ!
Et toi Alauna, tu ne connais pas ma soeur, tu ne la vois qu'a travers le regard
de ton "amant"...alors avant de juger forge toi ton opinion! et puis
tu dois aimer ca t'en prendre dans la tronche vu comme tu en redemande ! ca te
plait de pousser les gens a bout ? et je connais bien mieux que toi les histoires entre justine et marie
gertrude (que tu ne connais aps du tout tout comme manfred) donc pk
cela te concernerais donc.
pose toi des questions sur ton homme...demande toi pourquoi il fait tout un
foin du fait que justine parle avec son ex et sa mere ! réfléchis un peu, si tu
en es capable biensur !
Réponse d’Alauna à Sébastien
1. Je n'ai pas besoin de connaître ta sœur pour réagir à ses
insultes gratuites proférées à mon égard.
2. Ta sœur à dû s'apercevoir qu'il n'était plus la peine de se servir d'une
insulte à mon encontre pour froisser mon fiancé : à l'avenir ça m'économisera
le déplacement.
3. Je me balance grave de ta "marie gertrude", quant à l'affaire, c'est
toi qui vient la lancer sans savoir de quoi il en retourne entre mon
fiancé et ta soeur. Alors si tu veux te faire du bien, lâche là (pas ta
soeur, l'affaire) !
4. Tout un foin ? Il a juste soulevé en une phrase qui ne te concernait pas un
bien épineux sujet pour ta sœur, à ce que je vois... Mais ça, c'est pas mon
problème !
Réponse de Sébastien à Alauna
putain en plus tu fais de l'humour...dingue ca ! tu te
balance de tout en fait, le seul truc qui te fais grave chier, c'est que ton
mec accorde plus d'attention a justine qu'a toi...mais sache qu'elle n'est pas
la seule a t'insulter (ou a t'avoir insulté...) réfléchis bien a ca et je te
redis...pose toi des questions...et les bonnes questions si tu veux avoir les
bonnes réponses...on croit connaitre les gens mais on se trompe
je pense que tu sais de qui je parle...
mais bon, de toute facon le dialogue ne sert a rien, toi tu crois que justine
passe son temps a t'insulter alors qu'elle a autre chose a foutre crois moi,
ton mec a du mal a lacher justine, trop attaché semble-t-il... alors chacun a
des torts, je m'en doute, mais c'est avec des comportement comme vous avez eu
aujourd'hui qui font reculer l'histoire et qui fait chier... a toi de voir...réfléchis
a ce que tu as a gagner dans l'histoire...et regarde ce que t'as a perdre
Réponse d’Alauna à Sébastien
Quel pitre !
Il n'était pas la peine de t'employer à me répondre par de l'humour, Sébastien
- car tu sais bien que j’ai connu Manfred avant qu’il soit avec ta sœur et
qu'il est "sorti" avec elle pour tenter de m'oublier.
Mais au fait, peut-être tes paroles sont-elles sincères ? Ah ! Je ne puis me résoudre
à le croire ! Et si parfois la cocasserie de ces dernières n'était pas
volontaire, il ne me reste plus qu'à déplorer la candeur des jeunes dadais.
Bien à toi.
(La mère de Louis-Joseph, s’érigeant en mère protectrice de Justine, s’immisce dans la correspondance...)
Marie-Gertrude à Manfred
jeune homme,
comme vous semblez manier les mots avec aisance, vous saurez comprendre ceux
qui vont suivre.
je tiens à rectifier rapidement certains de vos propos concernant mes relations
avec Justine et sa maman. sachez, et ce sans désir aucun de me jusitifier
, que mes relations avec Madame la mère de Justine ne vous concernent en rien
et que tenir des propos tels que ceux que vous avez écrits sur le mur de
justine relève au mieux de la bêtise, au pire de la diffamation.
de plus mes relations avec justine dépasse probablement ce que vous pouvez
comprendre, et me qualifier de "nouvelle mère" est d'une rare
finesse.
enfin, puisque je suis "la confidente" de justine, vous comprendrez
aisément que si vous continuer à la harceler de la sorte, je n'hésiterai pas à
la défendre personnellement et à employer des moyens que le Code Pénal propose.
Vous avez je crois fait une incursion en droit ; vous saurez là aussi de quoi
je parle ! j'ai moi-même une solide formation juridique en droit privé qui me
permettra d'employer les bons arguments. votre comportement semble très
hostile. je vous demande de bien vouloir cesser définitivement vos agissements.
je transmets une copie de ce message à justine et vous demande de bien réfléchir
à votre attitude future. je souhaite que votre amie et vous-même puissiez vous
calmer.
Réponse de Manfred à Marie-Gertrude
"sachez, et ce sans désir aucun de me jusitifier
,"
Si vous n'avez aucun désir de vous justifier, vous n'avez alors aucune raison
de m'écrire.
Veuillez vous mêler de ce que ce qui vous regarde pleinement, en l'occurrence
de votre fils, qui n'a pas omis de m'adresser des menaces physiques (lisez entièrement
le mur de Justine).
Quant à Justine, au vu des insultes qu'elle a pu me faire subir ( et qu'elle
bien caché de vous raconter) je vous assure qu'elle sait se défendre seule. Et
je n'ai nullement l'intention de poursuivre le moindre rapport avec cette
personne. N'allez pas chercher de harcèlement, on ne harcèle pas ceux qu'on méprise
à présent.
Du reste, je vous rappelle, que s'il vous prenait l'envie de porter plainte et
que cette dernière n'aboutissait pas, je n'omettrai pas de porter plainte pour
procédure abusive.
Bonne journée
Lettre d’Alauna à Marie-Gertrude
Chère madame,
Veuillez trouver ci-joint une preuve que vous ne connaissez pas grand chose de
l’affaire au sein de laquelle vous prétendez vous mêler :
« je souhaite que votre amie et vous-même puissiez vous calmer. »
Je vous demande donc, s'il vous arrive d'écrire encore, de bien vouloir cesser
d’évoquer ma personne.
Aussi, méconnaissant les détails de cette "querelle d'ex", vous
feriez mieux de laisser monsieur Manfred et madame Justine clore cette affaire
par eux-mêmes si jamais elle ne l'est pas encore. Et pourquoi pas, s'il vous
est agréable de m'être utile en quelque chose, de surveiller l’éclosion d'éventuelles
– et gratuites - insultes de votre protégée à mon encontre.
Salutations distinguées.
Deuxième lettre d’Alauna à Marie-Gertrude
Chère madame,
Connaissant votre rigueur administrative - envoie d’une copie à Juliette de
votre écrit, ô combien intimidant ! destiné à mon fiancé - je m’étonne de n’avoir
pas pu lire un simple accusé de réception de votre part. Aussi me demandé-je si
vous avez bien reçu mon message ?
Bien à vous.
(à suivre...)
Foune en chocolat
Moule ta moule !!
Vu sur cet espèce de site, ici.
Kit de moulage pour réaliser une copie exacte de votre vulve en chocolat, une friandise qu'il va adorer !
Avant toute chose, nettoyez votre vulve avec de l'eau et du savon pour garantir une hygiène parfaite. Les poils doivent être courts ou épilés pour garantir un résultat parfait.
- Etape 1 : mélangez la poudre de moulage avec de l'eau. Au bout d'1
mn, versez la préparation dans le récipient fourni prévu à cet effet.
- Etape 2 : en position debout, appliquez fermement et sans attendre la
préparation dans le récipient contre votre vulve. Laissez poser jusqu'à
ce que le kit fige (compter de 2 à 4 mn). Attention de ne pas trop en
renverser !
- Etape 3 : vérifiez avec votre doigt que le gel est bien figé, et
retirez délicatement votre moule. Placez le tout dans le réfrigérateur
pendant 30 mn avant de passer à l'étape suivante.
- Etape 4 : versez le chocolat dans un bol allant au micro-ondes, et
chauffez le à mi-puissance par séquences de 30 secondes en mélangeant à
chaque fois. Répétez cette opération jusqu'à ce que le chocolat soit
bien onctueux, mais pas trop chaud.
- Etape 5 : laissez refroidir le chocolat tout en le remuant doucement.
Lorsqu'il commence à épaissir, sortez votre moule du réfrigérateur et
versez le chocolat à l'intérieur. Remettez le tout au réfrigérateur
pendant 5 mn.
- Etape 6 : Sortez votre moule du réfrigérateur. Vérifiez que le
chocolat a bien durci et retirez délicatement votre moulage.
Félicitations, vous venez de réaliser le moulage de votre vulve, en
Chocolat !
Si vous prenez soin de votre moule, celui-ci pourra être réutilisé pour d'autres réalisation : savon, bougie, glaçons, à vous d'imaginer !